dimanche 16 mars 2008

du 12 au 26 avril : Expo Farfelue : créations des enfants des écoles de l'entité

Au centre Culturel, Place Baudouin 1er 5590 Ciney

Expo ouverte du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
le samedi de 9h30 à 13h

Infos et réservations 083.21.65.65

Mercredi 16 et 23/04 à 14H00
Conteries 1° Pour les 3-6 ans par Valérie VERSTRAELEN et Bernadette MOTOULLE
2° Pour les 7-12 ans par André FRASELLE

du 10 avril au 8 mai : Le Club de l'Ecran vous propose "AVRIL LE MOIS DU RENOUVEAU"

Thème : NATURE, MONDIALISATION, MÉDITATION.

C'est la quatrième année qu'AVRIL, LE MOIS DU RENOUVEAU creuse sa niche qui s'étoffe davantage afin d'ouvrir des horizons de plus en plus larges sur une problématique essentielle : le devenir, plutôt que le périr de notre planète dont nous ne sommes pas les propriétaires.Comment vivre la mondialisation sans sacrifier son mode de civilisation ni sans arracher les racines de nos traditions fondatrices ? Telle est une des questions majeures de notre temps.Le cinéma, art démocratique par excellence, aura, depuis plus d'un an, avec le film-silex « Une vérité qui dérange » et le plaidoyer convaincant d'Al Gore, allumé, d'une manière spectaculaire, la conscience de l'opinion publique du monde sur la question climatique. Une opinion prête à déclarer, non pas, à l'instar d'A.Resnais : « Hiroshima, mon amour », mais bien : « Kyoto, mon amour »… Une réflexion est en train de s'approfondir sur le concept de croissance de notre monde libéral. Une croissance qui gonfle comme si elle était exponentielle, comme si les arbres pouvaient monter jusqu'au ciel, comme si le développement pouvait enfler sans cesse sans friser l'éclatement au contraire de la grenouille de la fable. La planète étant soumise à un stress de plus en plus pathologique, commencent à s'élever des voix convaincues que morale écologique et contrainte économique pourraient faire bon ménage. Que la révolution verte, « l'écolomie » doit être saisie comme une opportunité plutôt qu'être considérée comme une menace ou une sanction. Au contraire, elle peut être un tremplin pour l'innovation et la création de nouveaux emplois. Que freiner et changer de cap, que passer ne fût-ce que du galop au trot, ne nous précipiteraient pas dans la paralysie en nous jetant sur la paille !Que le renouveau printanier inspire les grands décideurs, bien au-delà des comptes d'apothicaires ou de marchands de tapis pour l'enveloppe CO2, pour créer un perpétuel renouveau où O et H2O, par exemple, retrouveraient leur prime jeunesse sans la moindre mine souf(f)reteuse. C.Q.F.D.Nous vous souhaitons d'heureuses pérégrinations et méditations pour la plus heureuse des « contemplactions » à travers les steppes, les déserts, les océans, la campagne, la haute montagne et ses neiges encore éternelles…

Excellent Printemps !
Jacques Trépant


http://www.clubdelecran.be/index.php


Vivement le mois d'avril... que vienne le renouveau

dimanche 9 mars 2008

25, 26 et 27 avril : Entracte 18 présente Mistero Buffo

Mistero Buffo (Mystère bouffe)
de Dario Fo, prix Nobel de littérature 1997


Les "Mystères" du moyen-âge revus par un saltimbanque génial. Rien de blasphématoire dans cette réécriture, mais simplement, entre émotions et rires, la trajectoire de Jésus rendue aux pauvres, aux pacifiques et aux exploités.

Avec :
Laurent Colard, Madeleine Dufoing, Raphaël Evrard, Sylvie Jadot, Jean-Jacques Laduron, Philippe Laffut, Dany Liégeois, Monique Pirson, Bénédicte Taelman, Sophie Zubiolo

Mise en scène de Jean Loubry

Régie de Jean-Marie Piraux



LIEU : Château St Roch (conservatoire) à Ciney

Entrée : Adultes 9€, étudiants et seniors 7€, moins de 12 ans 4€

Réservations 083.655.303 ou 083.218.146 ou entracte18@gmail.com

mardi 29 avril à 20 H au Chaplin : Exploration du monde : EVEREST une femme au sommet

Film présenté par Alexia ZUBERER

Envisager, un jour, l'ascension de l'Everest, c'est déjà en soi porter un rêve. L'Everest, le "troisième pôle", est la dernière conquête de l'homme sur la terre. Depuis Tenzing Norgay et Edmund Hillary, nombreux sont ceux qui ont tenté de fouler l'extrémité de la planète. Chaque fois, ce fut un défi… L'Everest est la montagne de tous les extrêmes.

Le 22 mai à 7h20 heure locale, Alexia Zuberer, en compagnie de Sébastien Figliolini et François Pallandre, de Norbu et de trois sherpas, devenait l'une des rares femmes au sommet de l'Everest. Cette aventure, Alexia Zuberer veut la faire partager à tous ceux qui, comme elle, rêvent aussi…

Everest 2003

Les montagnes du monde peuvent être fascinantes à bien des égards : par leur esthétique, leur situation, leur histoire ou leur altitude. L’Everest n’échappe pas à l’envoûtement que provoquent les reliefs du globe sur les alpinistes. La magie des chiffres a opéré : 8848 m, c’est un des pôles de la planète, mais surtout, c’est la dernière extrémité de la Terre. L’ultime frontière avant le ciel, le cosmos, l’intangible et l’infini….

En ce printemps 2003, j’ai eu la chance d’avoir accès à ce géant himalayen grâce à l’équipe de production de Bernard de Launoit et Henri de Gerlache. Sagarmatha pour les Népalais, Chomolungma pour les Tibétains, la déesse mère des vents et du monde est un sommet sacré symbolisé par un tigre surmonté d’une divinité bouddhiste nommée Myolangsangma. Cette année correspondait à l’anniversaire de la première ascension en mai 1953 par Tenzing Sherpa et Edmund Hillary, après de nombreuses tentatives (et quelques disparitions) menées sur le versant tibétain dans les années vingt et plus tard via la fameuse « Ice fall », découverte par les Suisses juste une année avant le succès britannique de 1953.

L’Everest était niché dans un coin de mes rêves, comme une destination verticale aux confins de l’univers de la haute altitude que j’ai appris à connaître sur d’autres sommets himalayens.
J’avais eu connaissance d’un tas d’histoires concernant cette montagne : à travers le prisme de la conquête, des tragédies, de la performance… elles parlaient d’exploits ou au contraire, de banalisation. Il devait bien exister un juste milieu !! Je brûlais d’y vivre ma propre histoire. Comme pour chaque ascension, les récits concernant la même montagne sont tous différents peut-être parce que l’expérience vécue par chacun est un peu le reflet de son âme.
Une fois sur place, les éléments semblaient hurler qu’il faudrait rester humble : les jours de vent se la disputaient avec les jours de neige. La bonne humeur a résisté face à la patience, cristallisée sur le camp de base, comme pour pouvoir être mieux méditée par l’ensemble des alpinistes qui s’épuisaient sur les pentes de l’Everest. …Des arpents de neiges, en arpèges de vent*…telle était l’atmosphère où commençait à poindre dans l’esprit de chacun la possibilité que sans doute, personne ne foulerait le sommet cette année.


Au seuil du découragement, quand chacun se posait mille questions en son for intérieur, les bulletins météo de notre routeur Yan Giezendanner, ont commencé à parler de fenêtre météo, qui nous permettrait de faire l’ascension. La situation s’est retournée à la manière d’une crêpe ! Mais les conditions atmosphériques restaient instables. C’est ainsi, qu’avec François, sébastien, Norbu et les sherpas d’altitude il a fallu attendre 24 heures au camp 2 à 6500 m, et une trentaine d’heures au Col Sud à près de 8000 m, avant de pouvoir grimper au sommet. Le vent nous a accompagnés à partir de 8500 m, le long d’une arrête très esthétique, entre les ténèbres de la nuit et les pastels du jour qui naît.

Le sommet est arrivé au terme d’une ascension difficile à cause du froid et des rafales d’un vent qui n’a cessé de forcer et du mauvais temps qui s’est installé pendant toute la descente. Le sommet, qu’on n’attendait plus, comme un cadeau; quelque chose d’éphémère à graver dans sa mémoire et à garder précieusement au fond du cœur. Ni exploit ni banal, l’Everest est une aventure comme une parenthèse dans la vie, un moment hors du temps. On le savoure une fois de retour en bas, quand on se retrouve au camp de base pour partager nos émotions.

*Parole d’une chanson de Lo Jo



Alexia ZUBERER

Depuis une quinzaine d’années, la montagne est mon cadre de vie (monitrice de ski et accompagnatrice en montagne), à travers lequel ma passion pour les reliefs a trouvé des terrains d’expression multiples. Orientés vers la performance (entre 1995 et 2002, une fois vainqueur de la Patrouille des Glaciers, cinq fois de la Pierra Menta, six fois de la coupe d’Europe, record d’ascension (en courant) sur le Dôme de neige des Ecrins qui culmine à 4000 m et troisième, avec mon équipe ERTIPS, du Raid Gauloises au Népal/Tibet). L’écriture et le photographie prolongent ces beaux rêves que j’ai plaisir à faire partager à travers la publication de différents reportages dans des revues de montagne et de trois ouvrages dont je suis co-auteur : « Pierra Menta, traces d’une légende », « Un agenda pour Thame *» et « un livre pour Thame *».
Mais parfois un doux mélange de performance et de contemplation se mêlent, comme lors des expéditions que j’ai eu la chance et le bonheur de vivre en Himalaya ces dix dernières années : Pachermo, 6200 m, Népal, Mera Peak, 6450 m, Népal, Ama Dablam, 6847 m, Népal, Himlung Himal 7046 m, Népal, Shisha Pangma, 8037 m, Tibet, Cho Oyu, 8201 m, Tibet, Everest, 8848 m, Népal et Everest 8848 m, Tibet.

* ces ouvrages ont été édités dans le cadre d’une aide à l’instruction scolaire au Népal. Cette initiative passe par une association à but non lucratif, nommée Travel For Others et dont l’action se déroule à Thame et ses environs, dans la région du Khumbu et Kakani dans le Langtang. Elle agit également au niveau de différents projets environnementaux.







EXPLORATION DU MONDE a.s.b.l. rue Gachard, 88 bte 2 - 1050 Bruxelles http://www.explorationdumonde.be/


vendredi 7 mars 2008

Samedi 31 mai et dimanche 01 juin 08 : salon de la maquette véhicule civil


Ciney Expo, Rue du Marché couvert, 3 B-5590 Ciney
Samedi: de 10 h à 18 h. Dimanche: de 9 h à 18 h.
Prix : 7€
Information:+32(0)81215224 après 18 h

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